Premièrement, il semble que les appellations protégées ne sont pas suffisamment préservées dans l’accord, tandis que la reconnaissance accordée aux pratiques viticoles américaines, autorisant l’adjonction de 7 % d’eau ou le vieillissement du vin avec la présence de copeaux de bois dans les fûts - qui bien sûr ne mettent pas en danger la santé -, compromet la réputation du vin en tant que produit de qualité.
Erstens dürften die geschützten Bezeichnungen im Abkommen keine ausreichende Sicherheit genießen. Zudem gefährdet die Anerkennung der Weinerzeugungspraktiken, denen zufolge die Beifügung von 7 % Wasser erlaubt ist oder Weine mit Spänen im Fass reifen dürfen, was natürlich nicht gesundheitsgefährdend ist, den Ruf des Weins als Qualitätserzeugnis.